Pour témoigner de l’ambivalence des années disco, le visiteur est invité à déambuler dans les rues d’un New York hostile matérialisé par des parois toute hauteurs inspirés par l’architecture des buildings.Un dispositif impressionnant et solennel qui donne à découvrir le quotidien marginalisé des minorités en lutte.Au sein de ces espaces libres, des micro-architectures pensées comme des refuges à l'image de ce que furent le disco et les discothèques dans un contexte où les minorités devaient se soumettre ou se cacher.L’ensemble des dispositifs est imaginé à partir de la forme carré, en hommage au damier des dancefloors.Cette géométrie simple permet d’être déclinée sous plusieurs formes tout au long de l’exposition et ainsi de s’adapter à la pluralité des typologies d’œuvres.