Dans un pays constamment exposé aux changements et à la destruction, au Liban, le nombre d’espaces abandonnés ne fait qu’augmenter avec le risque d’une perte de mémoire et d’histoire. En prenant pour exemple quatre lieux autrefois abandonnés mais aujourd’hui préservés et réhabilités, situés à Beyrouth, au centre de la capitale et au centre de l’« action », l’objectif est de montrer comment la réhabilitation a eu un impact positif et comment leur histoire est bel et bien conservée. Ce thème attire l’attention sur la façon dont leur réutilisation peut améliorer les quartiers et les communautés dans lesquels ils se trouvent en agissant comme catalyseurs de créativité. Ces espaces deviennent des centres culturels, des lieux où les gens peuvent se rassembler, se connecter, découvrir la ville