L’exposition se base sur trame carré que nous dessinons au sein de la philharmonie, sur laquelle nous nous appuyons pour sectionner les différents espaces d’exposition selon trois chapitres, « Everybody dance », « I am what I am » et « Can’t stop the music ».
Everybody Dance
Une grand volume rythmé par une trame omniprésente, dont certains carrés sont extrudés comme présentoirs. La trame carré murale joue également le rôle de paroi acoustique, afin de créer un seuil phonique entre l’extase et la démesure de la vie nocturne et la lutte pour la démocratisation d’une liberté sexuelle.
I am what I am
Les œuvres picturales sont dématérialisées et projetées sur des drapés blancs telles des sources lumineuses dans cet environnement obscur. Au centre de ces projections trône une structure gonflable bleue en forme de cube, incarnant Fire Island, un filtre déformant la perception des émeutes environnantes.
Can’t stop the music
Une gigantesque boule disco, symbole intemporel et intergénérationnel du mouvement musical disco, renfermant en ses entrailles un studio de composition musicale autour duquel gravite pochettes de disque, portraits d’icônes et photographies de costumes des plus grandes divas du disco.